Ô ma belle Portmore, je suis désolée de voir,
La destruction aussi tragique de ton arbre, ton ornement.
Lui qui se tenait sur ton rivage depuis si longtemps,
Jusqu'à ce que les longs navires d'Antrim viennent l'emporter.
Ô belle Portmore, tu éclaires le lieu où tu te tiens
Et plus je pense à toi, plus je pense longtemps
Si je t'avais maintenant, comme je t'ai déjà eu
Nul seigneur de la vieille Angleterre n'achèterait Portmore.
Tous les oiseaux dans la forêt pleurent d'amertume.
Ils disent : "Où allons nous nous abriter, où allons nous dormir ? "
Quant au Chène et au Frène, ils ont été abattus,
Et les murs de la belle Portmore gisent sur le sol.