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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 13:35

Lorsqu'un verre,

Ou une assiette tombe par terre,

Il s'écrase avec un fracas,

A réveiller les morts.

 

Lorsqu'une vitre éclate,

Qu'un cadre se décroche d'un mur,

Cela produit un bruit horrible.

Mais lorsque votre coeur se brise,

Il le fait dans un silence complet.

 

On pourrait penser,

Vu la portée de l'évènement,

Qu'il produirait,

Un vacarme stupéfiant,

Ou même un son bien à lui,

Un timbre grandiose,

Comme un gong ou un petit bip.

 

Bien au contraire : le silence est assourdissant,

Et rien ne vient vous distraire de la douleur.

Si bruit il y a, Il reste enseveli,

Au plus profond de vous.

 

Votre coeur hurle mais personne ne l'entend,

Personne à part son propriétaire,

Il hurle si fort qu'il vous perce les tympans,

Voir même il vous vrille le crâne.

 

Il se débat dans votre poitrine,

Cogne de toutes ses forces,

Rugit même de colère.

Voilà ce qu'évoque un coeur brisé :

Un animal pris au piège, épouvanté, ligoté, prisonnier de ses émotions.

 

L'amour, ce sentiment qui n'épargne personne,

Peut se révéler aussi douloureux,

Qu'une plaie à vif rongée par l'eau de mer.

A l'intérieur, le chaos ;

Tout autour, le calme trompeur.

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 13:33

Petite fleur dans le désert,

Petite fleur qui désespère,

Ne te fâches pas,

Ne te fânes pas.

 

Tu m'a appris qu'après la pluie,

Le soleil reviendra,

Qu'après la peine,

La joie reviendra,

Et qu'après la solitude,

Quelqu'un t'aimera.

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 13:30

Quand le désespoir de l'univers,

Grandit en moi,

Je vais m'allonger,

La ou le cygne repose sa beauté sur les eaux,

Ou le grand héron se nourrit.

 

Je me fond dans la paix,

De ce monde sauvage,

Qui ne construit pas sa vie,

Sur la prévoyance,

Ou les chagrins.

 

Je m'apaise dans la présence,

De cette eau tranquille,

Et je sens sur moi ses étoiles aveugles,

Qui attendent leurs lueurs.

 

Et pendant ses instants magiques,

Je me délasse,

Dans la paix de ce monde,

Et je suis libre.

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 13:27

Je ne dois pas penser au passé,

Mais pas non plus l'oublier,

Je ne dois pas rêver du futur,

Puisqu'il n'est pas encore mûr,

Je dois vivre au présent,

Et trouver ce qui est important.

 

Je me suis réveillée,

A côté de toi,

Tu as éveillé,

Ce qui dormait au fond de moi,

Tu as inspiré mon esprit,

Tu as enrichi ma vie.

 

Je me dirige vers toi,

Sans m'approcher,

En restant chez moi,

Je me mets sur mes pieds.

 

Pour ne jamais oublier,

Le passé,

Et accueillir l'avenir,

Puisqu'il va venir.

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 13:24

Seul le silence,

Le silence des choses,

Le silence de la nature,

Le silence de la lumière,

Le silence du chant,

Des oiseaux lui-même,

Ce silence seul,

Pourra faire contrepoids,

A la folie des hommes.

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 13:22

Et pour tous ses mots qui blessent,

Il y a ceux qui nous caressent,

Qui illumine,

Qui touchent l'infini !!!

 

Même si le néant existe,

Il reste l'espoir,

L'espoir de croire en la vie,

L'espoir de croire en demain.

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 13:19

Rappelle-toi, quand l'Aurore craintive

Ouvre au Soleil son palais enchanté ;

Rappelle-toi, lorsque la nuit pensive

Passe en rêvant sous son voile argenté ;

A l'appel du plaisir lorsque ton sein palpite,

Aux doux songes du soir lorsque l'ombre t'invite,

Ecoute au fond des bois Murmurer une voix :

Rappelle-toi.

 

Rappelle-toi, lorsque les destinées,

M'auront de toi pour jamais séparé,

Quand le chagrin, l'exil et les années,

Auront flétri ce coeur désespéré ;

Songe à mon triste amour,

Songe à l'adieu suprême !

L'absence ni le temps ne sont rien quand on aime.

Tant que mon coeur battra,

Toujours il te dira Rappelle-toi.

 

Rappelle-toi, quand sous la froide terre

Mon coeur brisé pour toujours dormira ;

Rappelle-toi, quand la fleur solitaire

Sur mon tombeau doucement s'ouvrira.

Je ne te verrai plus ; mais mon âme immortelle

Reviendra près de toi comme une soeur fidèle.

Ecoute, dans la nuit,

Une voix qui gémit : Rappelle-toi.

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 13:17

La beauté de la lune,

A capté mon regard.

 

Seule dans la brume,

Je souris dans le noir.

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 13:15

A la sainte union de deux fidèles âmes

Je n’admets point d’obstacle : amour n’est pas amour

S’il varie en voyant varier l’autre flamme,

Non plus que, délaissé, il délaisse à son tour.

 

Oh non ! C’est une marque à jamais établie ;

Témoin de la tempête, il n’est point ébranlé ;

C’est l’astre où toute barque errante se rallie :

On en prend la hauteur, ignorant son effet.

 

Il n’est le fol du Temps, si jour et lèvres rouges

Dans l’aire de sa faux un jour doivent tomber ;

Heures brèves et mois en leur cours ne le bougent :

Jusqu’au bord du trépas il demeure inchangé.

Si l’on me peut prouver que je me suis trompé,

Je n’ai jamais écrit, nul n’a jamais aimé.

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 13:10

Je me souviens de toi telle que tu étais en ce dernier automne :

Un simple béret gris avec le cœur en paix.

Dans tes yeux combattaient les feux du crépuscule.

Et les feuilles tombaient sur les eaux de ton âme.

 

Enroulée à mes bras comme un volubilis,

Les feuilles recueillaient ta voix lente et paisible.

Un bûcher de stupeur où ma soif se consume.

Douce jacinthe bleue qui se tord sur mon âme.

 

Je sens tes yeux qui vont et l'automne est distant:

Béret gris, cris d'oiseau, cœur où l'on est chez soi

Et vers eux émigraient mes désirs si profonds

Et mes baisers tombaient joyeux comme des braises.

 

Le ciel vu d'un bateau.

Les champs vus des collines:

Lumière, étang de paix, fumée, ton souvenir.

Au-delà de tes yeux brûlaient les crépuscules.

Sur ton âme tournaient les feuilles de l'automne.

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  • : Mon recueil magique de poésie
  • : La magie de la poésie... Dans le ciel éternel et infini, Des arts et de l'écriture, Brillent des étoiles pleines de beauté, D'émotions, d'amour et de sagesse, Ce sont les poètes... Poètes des siècles passés, Reconnus ou oubliés, Ils illuminent encore nos vies, Nos coeurs, nos yeux, nos humeurs... Poètes vivants, Grand mal vous en a prie de vous orientez dans cette voie, Car la poésie, ça ne se vend pas, Mais voilà parfois, On naît poète c'est comme ça !
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