Vous devez toujours avoir,

Dans votre pensée,

Une place pour les autres,

Car chaque fois,

Que vous ne cherchez pas,

A agir aussi bien que vous le pourriez,

Il y a quelque part dans le monde,

Quelque chose qui se trouve obscurci,

Compromis par votre faute.

Et bien agir ne signifie pas,

Nécessairement apporter une aide matérielle,

Non mais penser aux conséquences,

Que vos pensées,

Vos sentiments,

Vos actes,

Vos intentions,

Peuvent avoir sur les êtres.

Il y a tellement de possibilités,

Pour aider les humains !!!!

Ce sont ces possibilités,

Que vous devez trouver,

En sachant que rien de ce que vous faites de bon n’est perdu.

Une fois que vous l’avez fait,

N’y pensez plus,

Et surtout n’attendez rien en retour,

Soyez comme le soleil qui éclaire,

Chauffe et vivifie toutes les créatures,

Il ne se demande pas,

Si elles lui en sont reconnaissantes.

Qui suis - je ?

Je ne suis qu’une petite plume,

Dans le jardin des mots,

A l'encre de ma plume,

Je glisse sur l'écume,

Transportant le lecteur,

Dans mon jardin,

De " sol "en " si "

Pour qu'il soit bien

Que vous soyez fier comme un coq,

Ou fort comme un boeuf,

Têtu comme une mule,

Ou malin comme un singe,

Chaud lapin,

Ou fine mouche,

Vous êtes tous,

Un jour ou l'autre,

Devenu chèvre,

Pour une caille aux yeux de biches.

Vous arrivez frais comme un gardon,

A votre premier rendez-vous,

Et là, manque de bol pas un chat !!!!!

Vous faites le pied de grue,

Vous demandant si cette bécasse,

Vous a réellement posé un lapin,

Car le type qui vous a obtenu ce rencard,

Vous l'a certifié :

" Cette poule à du chien, une vraie panthère".

C'est sûr, vous serez un crapaud mort d'amour,

Mais tout de même,

Elle vous traite comme un chien,

Vous êtes prêt à gueuler comme un putois,

Mais non, elle arrive.

Dix minutes de retard,

Bon c'est pas la mort,

Il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard,

Sauf que la fameuse souris,

Avec sa crinière de lion,

Est en fait plate comme une limande,

Myope comme une taupe,

Elle souffle comme un phoque,

Et rit comme une baleine.

Vous restez muet comme une carpe,

Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez,

Mais vous sautez du coq à l'âne,

Et finissez toujours par noyer le poisson,

Vous avez le bourdon,

Envie de verser des larmes de crocodile,

Alors vous finissez par vous inventer une fièvre de cheval,

Qui vous permet de filer comme un lièvre.

En conclusion,

Vous avez beau être doux comme un agneau,

Faut tout de même,

Ne pas vous prendre pour un pigeon !!!!

Transmettre la vie,

C'est admettre l'immortalité,

Ne pas transmettre ses expériences,

C'est castrer l'avenir,

Car mieux vaut transmettre un art à son fils,

Que de lui léguer mille pièces d'or.

En résumé,

J'aimerais avoir un message un peu positif à vous transmettre,

Malheureusement je n'en ai pas ....

Est-ce que deux messages négatifs,

C'a vous irait ???

Transmettre son art ou bien un conseil,

N'est jamais perdu pour autant,

Même si vous pensez qu'il ne sert pas,

Un jour il revient,

Encore plus fort,

Encore plus grand.

Chaque génération,

Quelqu'elle soit,

A toujours quelque chose à transmettre,

Alors vous,

Anciens et nouveaux,

N'hésitez pas à le faire.

TRANSMETTRE est essentiel,

Pour la survie de l'homme,

Car cela lui permet d'avoir la connaissance,

Qui fait que l'homme est évoluer.

Le passé est la seule réalité humaine,

Tout ce qui est, est passé,

Le temps passe si vite,

Qu'on ne le voit pas passer.

Et pourtant il passe,

Il ne fait que c'a,

Il fait aussi vieillir.

Mon dieu que le temps passe vite,

Ah si on pouvait le regarder passer,

Mais hélas,

On passe avec lui.

Ne perdons rien du passé,

Car ce n'est qu'avec le passé,

Que l'on fait l'avenir,

Car le seul charme du passé,

C'est qu'il est le passé.

Le temps est le rivage de l'esprit,

Tout passe devant lui,

Et nous croyons,

Que c'est lui qui passe devant nous.

Le temps passe,

Et chaque fois qu'il y a du temps qui passe,

Il y a quelque chose dans le monde et dans l'univers,

Qui s'efface.

Laissons le passé être le passé,

Le present est fait de déformations du passé,

Et d'ébauches imprécises de l'avenir,

Et quoi que l'on fasse,

Le présent n'est qu'une vaste et bruyante fabrique du passé.

Mon passe-temps préféré c'est :

Laisser passer le temps,

Avoir du temps,

Prendre son temps,

Perdre son temps,

Vivre à contretemps.

C'est pendant que l'on calcule,

Que l'on analyse les pours et les contres,

Que la vie passe,

Et qu'il ne se passe rien.

Le passé appartient au passé,

Il ne doit pas jeter son ombre douloureuse sur le présent,

Le passé est bien passé,

A le remuer, 

Trouve-t'on autre chose qu'amertume ?

L'homme passe sa vie à raisonner sur le passé,

A se plaindre du présent,

A trembler pour l'avenir,

Car il est absurde de regarder le passé,

Que de vouloir organiser l'avenir.