20 mai 2012
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22:42
Rien ne saurait combler ce vide qui me punit,
Où es-tu, toi la mosaïque de ma vie ?
Bien loin de toi ma fleur s’est refermée,
Essoufflée de ton absence et de désirs.
Rien ne saurait te remplacer, tu occupes mes pensées.
Reviens moi ! toi que je jalouse au loin;
Oublie moi pour m’aimer plus fort,
Blottie au creux de tes bras, je te pardonnerais d’amour.
20 mai 2012
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22:37
La nuit n'est jamais complète,
Il y a toujours au bout du chagrin,
Une porte grande ouverte,
Qui guide vos pas et vous tend la main.
Une fenêtre éclairée, un sourire partagé.
Un désir à combler, une faim à satisfaire.
Il y a toujours un rêve qui veille
Un coeur généreux qui vous éclaire
Une main ouverte, une main tendue.
Il y a toujours...
Des yeux attentifs plein d’amitié
Qui redonnent espoir lorsqu’il n’y est plus !
Toute une vie à partager...
20 mai 2012
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22:29
Pour toutes celles qui sont tristes,
Qui ne croient plus en la vie,
Et qui ont le coeur vide,
Sachez que vous n'êtes pas seules.
Pour toutes celles qui sont perdues,
Qui n'ont plus rien et qui sont nues,
Sachez que vous n'êtes pas seules.
Un sourire, un regard, on comprend tout.
Plus rien n'a de sens alors on cache tout jusqu'au bout.
Même si on n'a plus de force on continue de faire semblant,
À quoi bon puisque tout est déjà perdu d'avance.
On a peur, on se renferme sur soi,
Plus rien n'a de l'importance puisqu'on n'est plus là.
Il faut tout dissimuler pour le regard des gens,
À quoi bon puisque tout est déjà perdu d'avance.
Se cacher ou fuir c'est tout ce qu'on peut faire,
Quand on se rend compte qu'on n'a plus de repères.
On fait en sorte d'oublier mais ça marche rarement,
À quoi bon puisque tout est déjà perdu d'avance.
Tout le monde est loin alors qu'ils sont si proches,
On croit que tout est dans la poche.
Mais on se rend compte que tout ne se fait pas aussi facilement,
À quoi bon puisque tout est déjà perdu d'avance.
C'est pas facile de dire qu'on a mal parce qu'on est jugée,
Alors on continue de pleurer.
Tous les jours, seules, en silence...
À quoi bon puisque tout est déjà perdu d'avance.
Faire comprendre aux autres qu'on veut s'en sortir,
Mais qu'on n'a pas la force parce que seule y a pas d'avenir.
Faire comprendre qu'on a besoin de soutien en permanence,
Pourquoi pas puisque tout est déjà perdu d'avance...
20 mai 2012
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22:11
Ma fille, Mon fils, Mes Enfants
Le jour où tu trouveras que je suis devenue trop vieille,
essaie d’avoir un peu de patience envers moi,
et essaie surtout de me comprendre,ma fille...
Si je répète la même chose des dizaines de fois, ne m’interromps pas !
Écoute-moi !
Quand tu étais petite, tu voulais que je te lise la même histoire,
soir après soir, jusqu’à ce que tu t’endormes.
Si je ne me lave plus aussi souvent sous la douche,
ne me réprimande pas et ne me dis pas que c’est une honte.
Souviens-toi combien de raisons je devais inventer,
pour te faire prendre un bain quand tu étais petite.
En voyant mon ignorance vis-à-vis des nouvelles technologies,
ne te moque pas de moi, mais laisse-moi plutôt le temps,
d’assimiler tout ça et de comprendre.
Je t’ai appris tant de choses… bien te tenir à table… bien t’habiller…
bien te présenter… comment confronter les problèmes de la vie…
"Le jour où tu trouveras que je suis devenue trop vieille,
essaie d’avoir un peu de patience envers moi,
et essaie surtout de me comprendre."
S’il m’arrive à l’occasion de manquer de mémoire,
ou de ne pouvoir suivre une conversation…
laisse-moi le temps nécessaire pour me souvenir…
et si je n’y parviens pas, ne sois pas nerveuse et arrogante…
car le plus important pour moi, c’est d’être avec toi et de pouvoir te parler.
Si je refuse de manger, ne me force pas !
Je sais très bien quand j’ai faim et quand je n’ai pas faim.
Quand mes pauvres jambes ne me permettront plus
de me déplacer comme avant…
Tends-moi les bras comme je tenais tes petites mains,
pour t’apprendre à faire tes premiers pas.
Et quand un jour, je te dirai que je ne veux plus vivre…
que je veux mourir… ne te fâche pas…
car un jour, tu comprendras aussi à ton tour !
Essaie de comprendre qu’à mon âge, on ne vit plus vraiment.
On survit simplement...
Un jour, tu comprendras que malgré toutes mes erreurs,
j’ai toujours voulu ce qui était le mieux pour toi et que,
je te préparais le terrain pour quand tu serais grande.
Tu ne dois pas te sentir triste, malheureuse ou incompétente,
face à ma vieillesse et à mon état.
Tu dois rester près de moi, essayer de comprendre,
ce que je vis, faire de ton mieux comme je l’ai fait à ta naissance.
Aide-moi à marcher… aide-moi à terminer ma vie avec amour et patience.
La seule façon qu’il me reste pour t’en remercier, c’est un sourire et
beaucoup d’amour pour toi...
Je vous aime !
20 mai 2012
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22:05
Une heure n'est pas qu'une heure,
C'est un vase rempli de parfums,
De sons, de projets et de climats.
Pour apprendre la valeur d'une année,
Demande à l'étudiant qui a raté un examen.
Pour apprendre la valeur d'un mois,
Demande à la mère qui a mis un enfant au monde trop tôt.
Pour apprendre la valeur d'une semaine,
Demande à l'éditeur d'un journal hebdomadaire.
Pour apprendre la valeur d'une heure,
Demande aux amoureux qui attendent de se revoir.
Pour apprendre la valeur d'une minute,
Demande à celui qui a raté son train,
Son bus ou son avion.
Pour apprendre la valeur d'une seconde,
Demande à celui qui a perdu quelqu'un dans un accident.
Pour profiter pleinement de La Vie,
Apprends simplement à vivre le moment présent.
Rassemble chaque instant qu'il te reste,
Partage les avec une personne que tu aimes,
Et ils seront encore plus précieux.
20 mai 2012
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22:02
Ô ma belle Portmore, je suis désolée de voir,
La destruction aussi tragique de ton arbre, ton ornement.
Lui qui se tenait sur ton rivage depuis si longtemps,
Jusqu'à ce que les longs navires d'Antrim viennent l'emporter.
Ô belle Portmore, tu éclaires le lieu où tu te tiens
Et plus je pense à toi, plus je pense longtemps
Si je t'avais maintenant, comme je t'ai déjà eu
Nul seigneur de la vieille Angleterre n'achèterait Portmore.
Tous les oiseaux dans la forêt pleurent d'amertume.
Ils disent : "Où allons nous nous abriter, où allons nous dormir ? "
Quant au Chène et au Frène, ils ont été abattus,
Et les murs de la belle Portmore gisent sur le sol.
20 mai 2012
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22:01
Je ferme les yeux,
L'espace d'un instant,
Et le voilà partit.
Tous mes rêves défilent sous mes yeux,
Comme une curiosité.
De la poussière dans le vent,
Ils ne sont que de la poussière dans le vent.
C'est toujours,
La même vieille chanson,
Rien qu'une goutte d'eau,
Dans une mer infinie.
Tout ce que nous faisons
S'écroule sur le sol
Bien que nous refusions de l'admettre
Ne t'attache pas...
Rien n'est éternel,
Exceptés la Terre et le Ciel.
Tout s'éloigne doucement
Et toute ta fortune,
Ne te paiera pas ,
Une minute supplémentaire
Nous ne sommes que de la poussière dans le vent
De la poussière dans le vent
Chaque chose n'est que de la poussière dans le vent
Chaque chose n'est que de la poussière dans le vent
20 mai 2012
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21:51
Préférez les voies de la douceur
A celles de la justice.
Car apprenez que vos droits,
Ne sont point votre vain caprice.
Accueillez l'esprit de justice,
Et repoussez la violence.
Car à la fin,
La Justice remporte sur l'Injure.
La justice doit être,
Impartiale et bienveillante,
Pour être tout à fait juste.
Puisque la justice,
C'est l'injustice équitablement partagée.
Malgré tout,
Mieux vaut une justice sans ordre,
Qu'un ordre sans justice.
La justice accorde de comprendre,
A ceux qui ont souffert,
Malgré tout,
Une justice trop exacte,
Dégénère en injustice.
La justice des hommes,
Est toujours une forme de pouvoir.
Bien que la justice et la justesse,
Soit deux qualités,
Qui dérivent de la même source.
La justice est l'administration de la force,
Alors quand vous avez oublié la justice,
Ne vous étonnez pas :
Que le ciel vous punisse,
Puisque la justice l'emporte toujours,
Et que le crime lui cède.
20 mai 2012
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21:50
Si tu rencontres un misérable,
Un être douloureux ou désespéré,
Tais-toi, écoute-le.
Emplis tes yeux de sa présence,
De son existence,
Jusqu’à ce qu’il découvre lui-même,
Dans ton regard qu’il existe vraiment,
Et que tu es son frère.
Alors, tu trouveras les gestes ,
Et les mots qui conviennent.
Et peut-être qu’il n’y aura,
Rien à dire ou à faire ?
Il existe.
Tu l’as fait exister. .
Alors, tu entendras toi aussi,
Le chant de la flûte neuve.
Tu ne seras pas un violent,
Un conquérant ou un rapace.
Tu connaîtras la joie divine d’exister.
Tu auras le cœur léger.
20 mai 2012
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21:43
Comme tu es belle, princesse,
La lueur dans ton regard,
Est comme une caresse.
Avec toi tout est tendresse !
Je regarde le soleil se lever,
Il brille pour t'entendre chantonner.
Souviens-toi que tout le monde t'admire,
Alors continue de sourire